Nuit essentielle
De boue et de soie mêlées
Il y avait un cerf-volant très haut dans le ciel
Post tenebras ad lucem
Le destin se dissout dans la douceur du soir
L’autre
Derrière la vitre
En regard ?
En haut de la colline la lanterne des morts
brûle l’été finissant
au lointain des phrases errantes
L’arbre
Lui seul
Structure l’air
La lumière s’échappe en cordes d’ombre
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