Comme en poésie n°59
Décharge 162
Diérèse 63
Lu « Matin de l’arbre levant », sa parole « de l’autre côté » dans le « bruissement du temps », là « derrière la porte fermée ». Frappée par la violence de cette « ligne pure et noire de la douleur », le silence, mais aussi par cette tentative de combattre la souffrance de la perte, la nuit. Que de force au fil des mots, comme une tentative têtue de lutter contre une parole brisée, loin des lieux sans soleil… |
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